Il faut choisir son camp.
Amis révolutionnaires, contestataires et activistes. Je ne saurais vous le dissimuler plus longtemps. L’heure est venue de dire haut et fort que les revendications du changement sont légitimes. On n’en peut plus des balivernes justifiant la comédie hermaphrodite des gens qui se disent révolutionnaires et qui s’adonnent aux cirques du régime débyfole. Comment comprendre l’esprit de la lutte, et ne pas aller jusqu’au bout. Comment convaincre un camarade sur un idéal quand en soi même l’esprit est versatile. Il est clair qu’il faut sonner les clochers. Si par malheur l’essence de la lutte s’est arrêtée aux confins des frontières tchado-soudanaises uniquement par amateurisme et manque d’ambition de quelques-uns, il faut savoir qu’au sein des classes populaires et la jeunesse, la lutte continue sous toutes les formes.
Maintenant, assez de minauderies et gageons de comprendre que le système d’Idriss Déby Itno est le pire des régimes ayant sévit au Tchad. Sa responsabilité est avérée dans la corruption, la gabegie, le clientélisme, le tribalisme, le népotisme et l’arrogance. Continuons de combattre cette léthargie jusqu’au bout des limites, car l’excellence recherchée est la délivrance du peuple tchadien du joug d’un clan qui le siphonne jusqu’à la lie. Cela fait bientôt 21 ans que ce régime perdure dans la honte et l’incapacité de conduire notre pays vers un essor de développement et de progrès. A ce moment précis une lutte de classe s’opère entre des énergumènes nantis par les détournement publics, le vol à haute voltige et une population laissée à son propre sort : Malnutrition, cherté de vie, manque de soins appropriés, manque d’eau potable, pas ou plus d’électricité et une école dépréciée.
21 ans de régime identique qui se fige comme un glas et proposant le dicktat et la démesure. En notre sein, la réorganisation doit être de mise et la contestation devrait être le leitmotiv qui partout doit s’ériger en nature de changement démocratique. Il faut choisir son camp que de subir à toute échelle les affres de ce régime des Itno, qui sait appâter ses proies et les humilier à vie.
Maintenant ou jamais, l’élan ne fait que commencer.
Amis révolutionnaires, contestataires et activistes. Je ne saurais vous le dissimuler plus longtemps. L’heure est venue de dire haut et fort que les revendications du changement sont légitimes. On n’en peut plus des balivernes justifiant la comédie hermaphrodite des gens qui se disent révolutionnaires et qui s’adonnent aux cirques du régime débyfole. Comment comprendre l’esprit de la lutte, et ne pas aller jusqu’au bout. Comment convaincre un camarade sur un idéal quand en soi même l’esprit est versatile. Il est clair qu’il faut sonner les clochers. Si par malheur l’essence de la lutte s’est arrêtée aux confins des frontières tchado-soudanaises uniquement par amateurisme et manque d’ambition de quelques-uns, il faut savoir qu’au sein des classes populaires et la jeunesse, la lutte continue sous toutes les formes.
Maintenant, assez de minauderies et gageons de comprendre que le système d’Idriss Déby Itno est le pire des régimes ayant sévit au Tchad. Sa responsabilité est avérée dans la corruption, la gabegie, le clientélisme, le tribalisme, le népotisme et l’arrogance. Continuons de combattre cette léthargie jusqu’au bout des limites, car l’excellence recherchée est la délivrance du peuple tchadien du joug d’un clan qui le siphonne jusqu’à la lie. Cela fait bientôt 21 ans que ce régime perdure dans la honte et l’incapacité de conduire notre pays vers un essor de développement et de progrès. A ce moment précis une lutte de classe s’opère entre des énergumènes nantis par les détournement publics, le vol à haute voltige et une population laissée à son propre sort : Malnutrition, cherté de vie, manque de soins appropriés, manque d’eau potable, pas ou plus d’électricité et une école dépréciée.
21 ans de régime identique qui se fige comme un glas et proposant le dicktat et la démesure. En notre sein, la réorganisation doit être de mise et la contestation devrait être le leitmotiv qui partout doit s’ériger en nature de changement démocratique. Il faut choisir son camp que de subir à toute échelle les affres de ce régime des Itno, qui sait appâter ses proies et les humilier à vie.
Maintenant ou jamais, l’élan ne fait que commencer.

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