Amdjaress, une bourgade de cinq ânes devenus par la force du diktat la capitale parcimonieuse du Tchad. Un lieu qui présage la cupidité, les coups bas, et la bêtise humaine.
Dans cette contrée évasée entre quelques cailloux et une chaleur suffocante que se trame l’avenir des Tchadiens, au choix du monarque Idriss Déby Itno Kamiss. Parti depuis deux jours, le tamal pour certains organise sa villégiature sur place et cela pour presque 40 jours. Il ne reviendra dans la capitale réelle de nous autres N’djamèna que deux jours avant le 08 août 2011, pour dans un premier temps accueillir ses invités, et ensuite se faire élire Président du Tchad par truchement, par fraude, par intrigue et arrogance aux dépens du vouloir réel du peuple tchadien.
Après l’investiture du monarque comme président du Tchad pour cinq ans ce sera les nuits des longs couteaux dans la même bourgade d’Amdjaress. C’est dans cette contrée que peut-être l’histoire dira qu’on aurait choisi le futur premier ministre et son gouvernement, et que peut-être encore c'est dans cette cité et poussée par les forces des évènements le dictateur tchadien viendra annoncer son dernier mandat, bluff et mensonge pour dégeler tous les dangers qui le guettent et l’observent à outrance.
Avant de quitter N’djamèna, il concéda le monopole de la commercialisation des produits de la nouvelle raffinerie à son frère Daoussa Déby Itno Kamiss. Comme si la liste du népotisme et du clientélisme ne suffisaient pas, les réseaux d’influence familiale se resserrent derrière l’homme à tout faire, ambassadeur, homme d’affaires, réseaux de mercenaires. Le seul Daoussa est aux BTP, travaux routiers, services mercantiles, grosses affaires et maintenant les produits de la raffinerie de Djarmaya comme si les autres Tchadiens ne devraient pas exister, et n’ont pas de compétence.
Le chef de famille (Daoussa) et son sultan de président dirigent de manière opaque une succursale de 27 milliards de FCFA. Comme des sangsues suçant sur la moelle des Tchadiens, ils ne laissent rien passer, sauf quelques frétilles aux Tchadiens en manque de dignité. La société du nom de COGET a obtenu le permis et un monopole de construction de 27 stations-services dans la capitale N’Djamena et en province.
Dans ses sorties sans analyse, le despote tchadien pensait plaire et séduire en annonçant le litre d’essence à 300 FCFA, mais il fut vite rattrapé par le réel économique. Daoussa voulait le litre à 600 FCFA, puis revient à 400 FCFA sous l’œil éberlué des Chinois qui comprennent mal comment établir un panel d’amortissement rapide de leur investissement. Mécontents ils y resteront, car la dynastie des Itno n’a n’en cure quand il s’agit d’odeurs d’argents.
Pour faire crédible, on mettra Almana dans la course avec Daoussa Déby Itno Kamiss pour la colorie habituelle, mais Almana même si c’est le mercantile agentivore du MPS ne fera pas le poids, car aux dernières nouvelles il fut débarqué du panel, lui laissant un infime pourcentage avant de le dégommer plus tard. Toute cette concurrence a amené les Camerounais à revoir les tarifs du litre d’essence à 200 FCFA. Les Tchadiens aux maigres ressources se ruent à Kousseri pour faire les provisions, essence pour voiture et gas-oil pour les groupes électrogènes. Mais la ruée agace les vautours des lieux. Sur le pont Gueli, une brigade mobile rackette ceux qui vont faire leur souk de l’autre côté du Chari.
Entre-temps certains Tchadiens résignés feront le jeu de toujours rêvant de leur semblant de vie dans la déchéance, pendant que d’autres de leurs frères penseront au Tchad de demain, où la paix est justice, et la démocratie havre de vie. À très bientôt…
Le tchadanthrope.
Dans cette contrée évasée entre quelques cailloux et une chaleur suffocante que se trame l’avenir des Tchadiens, au choix du monarque Idriss Déby Itno Kamiss. Parti depuis deux jours, le tamal pour certains organise sa villégiature sur place et cela pour presque 40 jours. Il ne reviendra dans la capitale réelle de nous autres N’djamèna que deux jours avant le 08 août 2011, pour dans un premier temps accueillir ses invités, et ensuite se faire élire Président du Tchad par truchement, par fraude, par intrigue et arrogance aux dépens du vouloir réel du peuple tchadien.
Après l’investiture du monarque comme président du Tchad pour cinq ans ce sera les nuits des longs couteaux dans la même bourgade d’Amdjaress. C’est dans cette contrée que peut-être l’histoire dira qu’on aurait choisi le futur premier ministre et son gouvernement, et que peut-être encore c'est dans cette cité et poussée par les forces des évènements le dictateur tchadien viendra annoncer son dernier mandat, bluff et mensonge pour dégeler tous les dangers qui le guettent et l’observent à outrance.
Avant de quitter N’djamèna, il concéda le monopole de la commercialisation des produits de la nouvelle raffinerie à son frère Daoussa Déby Itno Kamiss. Comme si la liste du népotisme et du clientélisme ne suffisaient pas, les réseaux d’influence familiale se resserrent derrière l’homme à tout faire, ambassadeur, homme d’affaires, réseaux de mercenaires. Le seul Daoussa est aux BTP, travaux routiers, services mercantiles, grosses affaires et maintenant les produits de la raffinerie de Djarmaya comme si les autres Tchadiens ne devraient pas exister, et n’ont pas de compétence.
Le chef de famille (Daoussa) et son sultan de président dirigent de manière opaque une succursale de 27 milliards de FCFA. Comme des sangsues suçant sur la moelle des Tchadiens, ils ne laissent rien passer, sauf quelques frétilles aux Tchadiens en manque de dignité. La société du nom de COGET a obtenu le permis et un monopole de construction de 27 stations-services dans la capitale N’Djamena et en province.
Dans ses sorties sans analyse, le despote tchadien pensait plaire et séduire en annonçant le litre d’essence à 300 FCFA, mais il fut vite rattrapé par le réel économique. Daoussa voulait le litre à 600 FCFA, puis revient à 400 FCFA sous l’œil éberlué des Chinois qui comprennent mal comment établir un panel d’amortissement rapide de leur investissement. Mécontents ils y resteront, car la dynastie des Itno n’a n’en cure quand il s’agit d’odeurs d’argents.
Pour faire crédible, on mettra Almana dans la course avec Daoussa Déby Itno Kamiss pour la colorie habituelle, mais Almana même si c’est le mercantile agentivore du MPS ne fera pas le poids, car aux dernières nouvelles il fut débarqué du panel, lui laissant un infime pourcentage avant de le dégommer plus tard. Toute cette concurrence a amené les Camerounais à revoir les tarifs du litre d’essence à 200 FCFA. Les Tchadiens aux maigres ressources se ruent à Kousseri pour faire les provisions, essence pour voiture et gas-oil pour les groupes électrogènes. Mais la ruée agace les vautours des lieux. Sur le pont Gueli, une brigade mobile rackette ceux qui vont faire leur souk de l’autre côté du Chari.
Entre-temps certains Tchadiens résignés feront le jeu de toujours rêvant de leur semblant de vie dans la déchéance, pendant que d’autres de leurs frères penseront au Tchad de demain, où la paix est justice, et la démocratie havre de vie. À très bientôt…
Le tchadanthrope.
1 commentaire:
C'est bien les titres accrocheurs...Mais un peu de sérieux dans l'orthographe,Mr le modérateur.La langue française est noble.Merci.
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